Une nouvelle traduction fra,çaise de poèmes d’Emily Dickinson par Nicolas Millet, publiée par les éditions atmen et diffusé par Pandore Éditions. Deux volumes de 80 & 76 pages, format in quarto : environ 10 cm sur 15, de la taille d’une main, vendus ensemble.
Manuscrits de tous les poèmes d’une année reproduits en couleur : les deux volumes forment une unité. Papier Nettuno gris pour la couverture ; naturel Bellula pour la première page. Intérieur blanc non paginé + une lettre de 1872, non mentionné sur la couverture, sur papier Skin grège (une page), glissée dans le livre.
Tirage à 68 ex., tous numérotés à la main ; pliage, massicotage et reliure (4 couleurs) faits main également. Bandeau avec citation (3 possibles) sur papier naturel : papier paille de chez Lalo.
https://www.editions-atmen.com/product-page/whererode-the-bird-l%C3%A0-o%C3%B9-chevauchait-l-oiseau
14,00 €
S’il existe des poèmes vrais, et constamment vrais, c’est peut-être ceux d’Emily Dickinson (1830-1886). C’est vers elle qu’il faut se tourner. A la façon dont elle se tourne vers nous, ici, à tout juste seize ans. Dans la frontalité du face-à-face : sans fuire du regard. Car 1789, c’est le nombre de poèmes qu’elle écrivit à partir de 1850 jusqu’à sa mort ; sept ou huit le chiffre de ceux qu’elle publia. Vivante, elle ne désirait pas les rendre public : elle s’en explique dans ces pages. Elle leur a pourtant consacré sa vie entière, en silence. Là, gît une vérité, unique. Et cette solitude, nécessaire au poème, ne fît pas d’elle “La Recluse” qu’on crut ou croit : pas d’existence plus ouverte au monde. A ce qui du monde vient et fait signe. On s’en convaincra en lisant ces lignes : poèmes de toute une année ― avec pour la première fois leurs manuscrits reproduits.
Emily Dickinson, née le 10 décembre 1830 à Amherst dans le Massachusetts et morte le 15 mai 1886 dans la même ville, est une poétesse américaine.
Issue d’une famille aisée aux liens communautaires forts, elle a vécu une vie introvertie et recluse. Après avoir étudié dans sa jeunesse durant sept ans à l’académie d’Amherst, elle vit un moment au séminaire féminin du mont Holyoke, avant de retourner dans la maison familiale à Amherst. Considérée comme une excentrique par le voisinage, elle est réputée pour son penchant pour les vêtements blancs et pour sa répugnance à recevoir des visites, voire plus tard à sortir de sa chambre. La plupart de ses amitiés sont donc entretenues par correspondance.
Bien qu’elle ait écrit presque mille huit cents poèmes, moins d’une douzaine ont été publiés de son vivant. En outre, ceux-ci ont été généralement modifiés par les éditeurs afin de se conformer aux règles poétiques de l’époque. Les poèmes de Dickinson sont en effet uniques pour leur époque : ils sont constitués de vers très courts, n’ont pas de titres et utilisent fréquemment des rimes imparfaites et des majuscules ainsi qu’une ponctuation non-conventionnelle. Un grand nombre d’entre eux traitent de la mort et de l’immortalité, des sujets également récurrents dans sa correspondance avec ses proches.
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