Monographie consacrée à la pratique de Thierry Fournier, artiste plasticien. Textes de Claire Chatelet et Juliette Fontaine (dir), Franck Ancel, Jean Cristofol et Emmanuel Simiand. Dim. 30 x 21 cm, 196 pages, 95 illustrations couleur. Pandore Éditions x Les Presses du réel.
19,00 €
Série de sept photographies. Tirages sur papier fine art papier baryté Canson 310 g, contrecollé sur dibond 3 mm, dimensions 20 x 40 cm, série limitée à 10 exemplaires avec certificat d’authentification.
130,00 €
Série de sept photographies.
Impresssions jet d’encre sur Canson Platine fibre Rag 310 g, contrecollé sur dibond 3 mm, dimensions 24 x 36 cm, série limitée à 10 exemplaires avec certificat d’authentification.
130,00 €
Un collectif d’éditeurices indépendant·es envisage les possibilités de contre-offensives à l’extension de l’empire Bolloré. Les contributions mettent en avant la pensée de professionnel·les de l’édition qui analysent et/ou subissent les dynamiques de concentration et d’extrême-droitisation du marché. Chacun·e tente de formuler, depuis sa position, des réponses à cette question urgente : comment faire face au libéralisme autoritaire dans le monde du livre ?
Nous soutenons cette initiative avec la plus grande énergie : il est urgent pour toutes les maisons d’édition indépendantes de lutter par tous les moyens contre ce monopole et la mainmise de l’extrême-droite qui en résulte, sur l’édition et les médias.
« Ne vous étonnez jamais de voir une rose se relever au milieu des ruines : c’est ainsi que nous avons survécu ». Né en 1992, Mosab Abu Toha a grandi dans un camp de réfugiés à l’ouest de Gaza. Il a écrit ces poèmes en 2022, restituant à la fois l’horreur quotidienne vécue par les Palestiniens, en même temps que la beauté et l’espoir, toujours possibles.
Deux ans plus tard, alors que Gaza est presque entièrement détruite et que la population palestinienne subit le génocide infligé par Israël, il nous semble que cette vision prend encore plus de force à travers la perspective historique qu’elle fait ressentir.
En décembre 2024, Jean-Pierre Filiu a réussi à se rendre dans la bande de Gaza pour y vivre pendant un peu plus d’un mois. Il connaît intimement ce territoire, sa géographie et son peuple, dont il parle la langue. Sur place, l’historien s’est fait enquêteur. Il nous permet de renouer avec les humbles de ce territoire abandonné du monde, leur combat quotidien pour la survie et pour la dignité.
Ce regard nous semble essentiel pour comprendre ce qui se joue en ce moment en Palestine, sur le génocide lui-même mais aussi ses conséquences internationales à long terme.